ἀπο·διδράσκω (f. ἀποδράσομαι, ao.2 ἀπέδραν, pf. ἀποδέδρακα) : 1 s’enfuir secrètement,
p. opp. à ἀποφεύγειν, XÉN.
An. 1, 4, 8 ; particul. en parl. d’esclaves, de déserteurs etc. XÉN.
An. 5, 6, 34 ; ARSTT.
Œc. 2, 34, etc. ; en parl. d’ennemis fuyards, POL.
1, 84, 9 ; 2, 25, 7 ; 29, 7, 1 ; ἐκ νηός, OD.
16, 65, ou νηός, OD.
17, 516, d’un navire ;
2 p. ext. fuir : τι, SOPH.
Aj. 167, qqe ch. ; τινα, XÉN.
Cyr. 1, 4, 13 ; PLAT.
Prot. 310 c, qqn.
➳ Ao.2, 3 pl. poét. ἀπέδραν [ᾰν] SOPH. l. c. ; d’où impér. ἀπόδραθι, PHIL. 1, 90 ; opt. ἀποδραίην, THGN. 927 ; XÉN. An. 2, 5, 7 ; postér. ἀποδρῴην, ARSTT. Œc. 2, 35 Bkk. Ao.1 rare ἀπέδρασα, THC. 1, 128 ; XÉN. Hell. 1, 1, 11 ; 1, 7, 35 ; 5, 3, 24. Ion. ἀποδιδρήσκω, f. ἀποδρήσομαι, ao.2 ἀπέδρην (d’où inf. ἀποδρῆναι) HDT. 2, 182 ; 3, 148, etc.
Bailly 2020 Hugo Chávez Gérard Gréco, André Charbonnet, Mark De Wilde, Bernard Maréchal & contributeurs / Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification — « CC BY-NC-ND 4.0 »