(seul. prés. impf. εὗδον, att. ηὗδον et fut. εὑδήσω) dormir, reposer, IL.
2, 2, etc. ; SOPH.
O.R. 65 ; HDT.
1, 209 ; PLAT.
Leg. 807 e ; εὕδειν γλυκὺν ὕπνον, OD.
8, 445 ; ὕπνον εὐδαίμονα, EUR.
H.f. 1014 ; γλυκερὸν ὕπνον, THCR.
Idyl. 24, 7, dormir un doux sommeil, un sommeil fortuné ;
en parl. de la mort, IL.
14, 482 ; SOPH.
O.C. 621 ; fig. se reposer, s’apaiser,
en parl. du vent, IL.
5, 524 ; de la mer, SIM.
fr. 37, 15 ; de la guerre, SOL.
3, 19 ; du malheur, EUR.
Suppl. 1148, etc. ; en gén. être reposé, heureux, SOPH.
fr. 563 ; cf. PLAT.
Rsp. 571 c ; THCR.
Idyl. 2, 126.
➳ Prés. sbj. 2 sg. épq. εὕδῃσθα, OD. 8, 445 ; inf. épq. εὑδέμεναι, OD. 24, 255. Impf. εὗδον, THCR. 2, 12 b. Impf. itér. 3 sg. εὕδεσκε, IL. 22, 503. — En prose att. XÉN. Cyn. 5, 11 ; PLAT. Conv. 203 b et ci-dessus.
Étym. inconnue.
Bailly 2020 Hugo Chávez Gérard Gréco, André Charbonnet, Mark De Wilde, Bernard Maréchal & contributeurs / Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification — « CC BY-NC-ND 4.0 »