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ἀναλόω
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Bailly
ἀν·αλόω [ᾰᾱ] (prés. en vieil att. ESCHL. Sept. 813 ; EUR. Med. 325 ; AR. Pl. 248 ; THC. 2, 24, etc. ; en ion. HPC. Aër. 288 ; en prose réc. DH. 7, 71 ; 8, 73, etc. ; impf. ἀνήλουν, THC. 8, 45, vulg. ἀνάλουν ; les autres temps servent à la conjuq. de ἀναλίσκω) c. ἀναλίσκω ;
Moy. (impf. 3 pl. ἀνηλοῦντο) se détruire, se tuer, THC. 3, 81.
Moy. (impf. 3 pl. ἀνηλοῦντο) se détruire, se tuer, THC. 3, 81.
➳ ἀναλόω se rencontre dans une inscr. att. du 5e siècle : ἀναλοῦν, CIA. 1, 55, c, 3 (415 av. J.C.) v. Meisterh. p. 141, 15.
Bailly 2020 Hugo Chávez Gérard Gréco, André Charbonnet, Mark De Wilde, Bernard Maréchal & contributeurs / Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification — « CC BY-NC-ND 4.0 »
LSJ
v. ἀναλίσκω.
Liddell-Scott-Jones, Greek-English Lexicon (9th ed., 1940)
Pape
[νᾱ], Stammform zu ἀναλίσκω ; ἀναλοῖ Aesch. Spt. 975 ; ἀνηλοῦντο, sie töteten sich, Thuc. 3.81 ; ἀνάλουν 8.45 ; ἀναλοῦν Ar. frg.; τὰ εἰς τὴν πόλιν ἀναλούμενα Xen. Hier. 11.1.
Pape, Griechisch-deutsches Handwörterbuch (3. Aufl., 1914)
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